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Kung-fu Wushu (功夫)

Message Publié : 02 Octobre 2014, 21:29
par Administrateur
Le terme Kung-fu Wushu signifie littéralement l'homme réalisé dans l'art d'arrêter les armes.

Sous ce terme on désigne l'ensemble de tous les arts martiaux chinois.
Les premiers arts martiaux chinois apparurent dans les années 600 avant notre ère.
Ceux-ci se divisent en deux grandes catégories : les arts martiaux externes (waigong) de tendance boudhiste et les arts martiaux internes (neigong) de tendance taoïste.
Les arts martiaux externes utilisent la force physique et la vitesse comme principe d'entraînement comme les boxes de Shaolin alors que les styles internes se basent sur la maîtrise de la respiration pour guider le qi comme le Tai-chi-quan, ou le Ba-gua-zhang.
La pratique des arts martiaux chinois comporte des enchaînements de mouvements codifiés "taolu" et des combats.
Les formes techniques peuvent être exécutées à mains nues, au sabre, à la lance, à l'épée, au bâton, seul ou avec un partenaire.
Les combats comportent la séparation des mains "sanshou", les poussées de mains "tuishou", les duels aux armes longues, courtes.
Les principaux effets de la pratique du kung-fu sont de renforcer la constitution physique et de fortifier la volonté.
Le Kung-Fu Wushu compte plusieurs écoles (menpai) telles que les écoles du Nord, du Sud, de Shaolin, de Wudang ou de Emei qui se subdivisent elle-même en de très nombreux styles. Environ 400 sont recensés officiellement, mais officieusement on parle de près de 2000 styles connus.
Le Kung-Fu doit sa popularité grâce aux films de Bruce Lee, élève de Yip Man, maître chinois de Wing chun dans les années 70.

Arts Martiaux Chinois externes : Wing-chun (詠春拳)
Wing-chun signifie le poing du joli temps de printemps.
Les rudiments de ce style de combat du Sud ont été jetés au XVe siècle par une nonne bouddhiste Wu mei.
C'est la première fois que l'on mentionne une femme à la source d'une école. Ces bases furent transmises à une autre femme Yim Wing Chun Mariée à Leung Bok-cho.
C'est celui-ci qui après la mort de son épouse poursuivit l'élaboration et la codification du style et l'appela Wing chun.
Techniquement le Wing chun incarne l'efficacité à travers une grande économie de mouvement et d'énergie. Un style qui convenait tout particulièrement aux femmes (ce style était très prisé par les serveuses des jonques Hakka qui avait souvent à faire avec des marins un peu trop entreprenants.
Les mouvements sont très courts, à partir d'une position très stable, permettant des réactions rapides dans toutes les directions.
Les esquives sont soupes, les contre-attaques fulgurantes.
La réponse fondamentale à une attaque est « Chi-sao », technique très particulière consistant à coller les avant-bras tout contre ceux de l'adversaire, non pas d'une manière statique mais en des entrelacs savants et très fluides.
On retrouve le concept du « tui-shou »
Le wing chun est donc un style parfait pour les combats au corps à corps avec des contre-attaques extrêmement sèches et puissantes.
Le travail postural du wing chun repose sur cinq principes essentiels résumés en particulier dans la position du cavalier et celle du sablier.
Trois taolu comprennent toutes les techniques de ce style.
Siu-nim-tao (premier tao)
Siu Lim Tao, traduire « la petite idée », permet au pratiquant de découvrir, d’apprendre et de perfectionner la position du Wing Chun. Par exemple, on y apprendra à avoir une bonne position des jambes, un placement adéquat des pieds, ainsi que du bassin (avec une légère rétroversion), du dos et de la tête. Ensuite, viendront les principales techniques structurantes de l’art martial, comme le coup direct, le huen sao, le tan sao, le wu sao, etc.
Chum-kiu (deuxième tao),
C’est une forme beaucoup plus exigeante que la Siu Lim Tao. En effet, elle comporte de nombreux déplacements. Et qui dit « déplacements » dit « bonne structure », « angles à surveiller », etc. En plus de cela, on a aussi des coups de pied, donc il faut être bien équilibré.
Bil-jee (troisième tao).
Troisième forme à mains nues du Wing Chun, Bil-jee est une sorte d'accomplissement réservé aux pratiquants les plus avancés. Il contient des techniques particulièrement dangereuses, d'où son nom de doigt comme des dards. Dans la tradition, ce Taolu ne devait "pas franchir la porte" ou "être enseigné aux étrangers", ce qui signifie qu'il devait rester secret au sein des écoles et se transmettait discrètement du maître à ses disciples les plus fidèles. Il se dit que Biu Jee, qui contient des techniques très variées (coup de pied bas, attaques avec les doigts...) doit permettre de renverser les situations compromises (blessure, perte d'équilibre). Chaque mouvement doit être suffisant pour neutraliser voire tuer un adversaire...
Le mannequin de bois
Le mannequin de bois, mộc nhân, muk yan jong du Wing Chun est un mannequin de bois de la taille d'un homme, muni classiquement de 3 bras et d'une jambe. Il est utilisé par le pratiquant pour améliorer les déplacements, la vitesse et la précision des techniques, endurcir les membres mais surtout pour développer les sensations et réflexes des bras et jambes. On dit que c’est les marins hakkas qui eurent l’idée de s’entraîner sur les mats des jonques ce qui donna naissance au mannequin de bois.
Selon les lignées du wing chun, la forme exécutée sur le mannequin est composée de 196 mouvements, 116 mouvements, ou 108 mouvements.
Les armes
Le bâton long qui était la perche pour faire avancer les jonques fleuries.
Les couteaux papillon, paire de couteaux d'appontage des bateliers de Hong Kong des célèbres jonques rouges des Hakkas
Le Wing chun est un style très développé en Asie principalement à Hong Kong. Son expansion rapide à travers le monde s'explique par le fait qu'une certaine efficacité peut y être acquise assez rapidement et suivant des principes issus à la fois des styles durs et des styles mous.
Mais il doit surtout sa notoriété à l'acteur Bruce Lee qui avait pu bénéficier de l'enseignement de Yip man le dernier grand maître incontesté du style mort en 1972


Arts Martiaux Chinois externes : Hung-gar (洪家)
Hung-gar il signifie boxe de la famille hong.
Style majeur de la boxe chinoise de la Chine du Sud, il est considéré par beaucoup comme le descendant direct des techniques élaborées par les moines guerriers du célèbre monastère de la jeune forêt « Shaolin ».
Les premières bases de ce style sont à mettre au compte de Hung-Hei-Gung. Il a étudié à deux sources, la première source serait un expert de Shaolin qui aurait survécu à la destruction du temple au XVIIe siècle et qui enseignait la forme du tigre, c'est-à-dire des techniques efficaces à long rayon d'action.
La seconde source serait par un expert qui enseignait le style Wing Chun et des techniques basées sur les observations intelligentes des mouvements du héron.
Il baptisa cette première école l'école du tigre et du héron du sifu hung.
Ses successeurs transmirent sa technique mais revinrent aussi davantage sur les techniques de combat du serpent, du dragon et du léopard. Le style prit alors seulement son nom de Hung-gar.
Le Hung-gar offre bien des similitudes avec le karaté japonais : mêmes positions basses et stables, avec concentration de force, même alternance de techniques fortes et souples, explosives ou lentes, même formes d'attaques avec participation du corps, même principe de blocages et d'esquives.
Selon le but recherché un combattant de Hung-gar peut être indéracinable ou au contraire se révéler insaisissable dans ses déplacements fluides. Les coups de pied ne dépassent jamais le niveau de la poitrine l'adversaire et visent en général davantage ses genoux ses chevilles dans le but d'écraser les articulations. Par ailleurs l'on garantissait un grand usage de la main ouverte : en plus des coups de poing : on frappe de la peau ainsi que des doigts arqués en « griffes » ou raidis en pic visant principalement les points vitaux de l'adversaire.
L'un des plus grands maîtres de Hung-gar fut Wong-fei-hung dont la vie a donné lieu à des dizaines d'adaptations cinématographique racontant ses exploits.

Arts Martiaux Chinois externes : Tang-Lang (螳螂拳)
Tang-Lang ou la boxe de la mante religieuse a été créée par Wong Long au XVIIe siècle.
Il vécut dans la dernière période de la dynastie Ming. Expert dans le maniement du sabre, il demanda à être instruit par les moines guerriers de Shaolin dans l'art du combat à mains nues.
Malgré de longues années d'efforts, il restait régulièrement battu par ses compagnons d'étude.
Perplexe, il s'assit un jour à l'ombre d'un arbre pour méditer sur son problème. C'est en regardant le combat à mort entre une frêle mante religieuse et une grosse cigale qu'il eut la révélation.
Il capturera la mante et pendant plusieurs jours en étudia soigneusement les mouvements instinctifs en la piquant avec un bâtonnet.
Il sélectionna 12 techniques d'attaque et de défense inspirée des réactions de la mante religieuse.
Il les réparties en trois catégories : la première (Peng-pu) les moyens de déséquilibrer l'adversaire. La deuxième (Lan-tseh) les manières d'attirer et de neutraliser la force de l'adversaire. La troisième (Pa-tsou) les contre-attaques du coude exécutées au corps à corps.
Le succès de cette nouvelle boxe fut immédiat et spectaculaire.
Il améliora le style en combinant les mouvements des membres supérieurs de la mante avec les déplacements souples observés chez le singe et il compléta enfin par l'expérience qu'il avait gardée du sabre. Il appela sa méthode la boxe de la mante religieuse du Nord.
Par la suite, apparurent une multitude de styles de la mante religieuse, tous issus de la province du Shandong, et qui se sont répandus vers le sud de la Chine.
Le style originel se divisa progressivement, trois grandes branches se démarquant de la multitude de nouvelles formes : La Boxe de la Mante Religieuse de la Fleur de Prunier (Meihua Tang Lang Quan), la Boxe de la Mante Religieuse des Six Harmonies (Liuhe Tang Lang Quan) et la Boxe de la Mante Religieuse des Sept Etoiles (ou de la Grande Ourse), créée par Li Zhi Jian sous la Dynastie Qing nommé ainsi en raison de ses déplacements angulaires rappelant l'agencement des étoiles de la constellation de la Grande Ourse.
À ce jour il existe des styles, branches et écoles de la mante religieuse du Shandong qui n'ont pas encore été répertoriés.
Néanmoins, la Boxe de la Mante Religieuse de Shaolin (Shaolin Tang Lang Quan) reste la variante la plus proche du style à son origine. Le style de la Mante Religieuse comporte un nombre considérable de variantes, chacune très riche techniquement. Un grand esthétisme, une exécution rapide et fluide ainsi que des techniques destructrices caractérisent cette boxe.



Arts Martiaux Chinois externes : Baihe quan (白鹤拳)
La boxe de la grue blanche est un style du sud de la Chine et l'un des plus anciens.
Il se caractérise par des attaquants pics des doigts réunis, déposition et évolution sur une jambe, des mouvements de bras rappelant les battements d'ailes de l'oiseau, les attaques de pied visant les genoux et les chevilles de l'adversaire.
Certaines de ces techniques se trouvent parfois combinées avec d'autres provenances.
Le fondateur du style est un moine de la Shaolin du nom de Fang Zhong-gong expert de la «boxe des 18 poings des Lo Han ».
Après la destruction du monastère par les troupes impériales au début du XVIIIe siècle il se réfugia dans la province méridionale du Fujian dans un autre monastère Shaolin.
Il eut une fille Fang Jin-jang. Il lui enseigna sa technique. Mais ce fut seulement après la mort de son père que, déjà familiarisée avec les arts martiaux elle jeta les bases de ce qui deviendra le style de combat dit « de la grue blanche du Fujian ».
La légende raconte qu’elle eut un jour l'occasion d'observer le combat de deux grues à travers à travers une haie de bambou. Elle remarqua la précision de leur manœuvres d'esquive et le travail de leurs ailes.
Elle eut soudain envie de séparer les oiseaux et s'empara d'un long bâton de bambou pour tenter de leur faire peur. Mais à sa grande surprise à chaque fois qu'elle pensait toucher dans un geste pourtant vif et précis, l’oiseau esquivait sans peine. Cela fut une véritable révélation pour la jeune fille qui comprit aussi le principe du souple et du dur.
Elle fit la synthèse de ce que lui avait enseigné son père et les observations nouvelles qu'elle venait de faire.
Le résultat fut nouveau style de combat qui acquit très vite une forte réputation dans toute la province.
Elle étouffa la technique proprement dite de recherches sur la respiration ainsi que de principes moraux, dans le but de donner au pratiquant une harmonie intérieure et une possibilité d'union avec les forces de la nature.
Par la suite la boxe de la grue blanche se déclina en cinq directions.
Poing de la grue ancestrale ou boxe de la grue qui s'ébroue.
Poing de la grue qui tourne.
Poing de la grue qui dort.
Poing de la grue qui vole.
Poing de la grue qui picore.
On dit que la boxe de la grue blanche est en partie à l'origine du style Wing Chun.

Arts Martiaux Chinois internes : Taichi-chuan (太极拳)
On peut traduire le mot Taichi-chuan par la boxe du grand faîte ou le point ultime.
C'est un système de boxe classée dans le courant interne au même titre que le Bagua Zang en raison de ses relations avec le système cosmogonique chinois.
L'aspect actuel du des séquences Taichi-chuan avec ses mouvements lents excluant généralement les techniques rapides et puissantes, ne date que d'environ un siècle (alors que son histoire est très ancienne) la focalisation de l'individu de la seconde moitié du XXe siècle sur les aspects thérapeutiques du mouvement et la recherche intérieure chinoise ont éloigné le Taichi-chuan de ses racines authentiquement guerrières pour en faire une pratique de santé.
Ses origines remontent à la dynastie Tang (618 – 907).
Les prémices de ce style se réduit à l'ermite taoïste Chan San Feng qui aurait vécu au huitième siècle dans la province du Hopei sur la montagne Wudang.
La légende raconte qu'à la vue du combat entre une grue et un serpent et au constat de la défaite de ce dernier, il eut l'idée de créer le style de combat Mu-tong-pai ancêtre du Taichi-chuan.
Le développement récent et historique du Taichi-chuan date du temps de son introduction au XVIIe siècle, dans la province du Honan par Wang zong yue qui le passa au clan familial des Chen.
La famille de Chen fut longtemps le dépositaire exclusif de l'art qui était enseigné en secret dans le strict cadre familial restreint.
Malgré cela, il fut volé par un étranger du nom de Yang lu Chan qui s'était fait engager comme domestique dans la famille il put étudier pendant plusieurs années avant de l'enseigner à Pékin, où on le surnomma l'invincible à cause des défis et combats célèbres dont il sortit toujours vainqueur.
Après sa mort ses fils répandirent son style à travers tout le pays.
Il fut le premier à modifier la forme initiale du Taichi-chuan.
D'autres suivirent la même démarche.
On distingue aujourd'hui quatre grands styles :
le style Chen de Chen Wang-ting (1587-1664)
le style Yang de Yang Lu Chan (1799-1872)
le style Wu de Wu Yu xiang (1812-1880)
le style Sun de Sun Lu Tang (1860-1932)

Arts Martiaux Chinois internes : Ba-gua-zhang八卦掌
Le point des huit trigrammes
le Ba-gua-zhang est un style de boxe classé dans le courant interne en raison de ses relations étroites avec la question de la maîtrise de l'énergie interne et le système cosmogonique chinois.
Il était créé au XVIIIe siècle dans la province Hebei par Dong Hai chuan et consiste en une succession de mouvements de la main ouverte exécutée en solo en se déplaçant sur la circonférence d'un cercle imaginaire d'environ 3 m de diamètre. Le but est d'esquiver les coups tout en collant l'adversaire pour conclure en corps à corps à tout moment avec une brusque focalisation de l'énergie jusque là fluide.
Les mouvements fondamentaux des mains dans le Ba-gua-zhang sont :
Changement simple, changement double, mais qui suit, mains derrière le dos, mains et corps en rotation, mais en prise double, mains qui écrasent, mains et corps en volte-face. Chacun de ces huit mouvements peut se transformer en importe lequel de ces trois autres et former ainsi 64 transformations inspirées des 64 transformations des huit trigrammes. Les mouvements fondamentaux des pieds sont au nombre de quatre : monter, descendre, ouvrir, fermer.
Le Ba-gua-zhang est un style de boxe extrêmement déroutant vu de l'extérieur : le pratiquant évolue rapidement en déplacement circulaire autour d'un point imaginaire, vers lequel il dirige constamment sa garde, change brusquement de direction, se baise, se redresse, repart. En fait, ce comportement est plus un symbole qu'une manière de combattre, et on y retrouve l'éternelle quête de l'homme : celle de son identification à l'univers et à ses lois.
L'enseignement d'origine a éclaté en plusieurs courants dont trois importants : le style Cheng, le style yin, le style Song et le style Liu.

Arts Martiaux Chinois internes : Le Xing-yi-chuan (形意拳)
Parmi les trois grandes écoles internes de la boxe chinoise (Tai-chi-chuan , Ba-gua-zhang , Xing-yi-chuan), cette dernière est la plus ancienne. Ses racines plongent dans la philosophie taoïste et la recherche énergétique du Qi-gong. Elle réfère également aux cinq éléments (eau, bois, feu, terre, métal).
La tradition attribue la paternité de ce style au fameux général chinois Yue Fei (1103 – 1142), qui était un expert à la lance. Son frère, avec lequel il rivalise d'adresse et de courage fut tué à coups de pieds et à coups de poing par des brigands l'ayant surpris sans son arme. Il fut effondré, il jura que cela ne lui arriverait pas. Il mit donc au point une méthode de combat à mains nues basée sur les principes fondamentaux du travail de la lance et nomma cette nouvelle école les trois mains de Yue. Cette nouvelle méthode connue assez vite un important succès.
Yue Fei fut chargé de l'enseigner aux officiers généraux de la garde impériale de Nan Sung.
Le Yue san shou demeurera inchangé jusque vers les années 1600.
Un ermite taoïste Chi chi ho, vivant sur le mont Chung Nan décida d'adjoindre au Yue san shou les principes du Wudand-pai et certaines techniques de Qi-gong.
Il nomma cette nouvelle méthode le I-chuan.
À sa mort il laissa son secret à Chi Lung-feng qui à son tour modifia les formes en utilisant la théorie des cinq éléments. Il donna à cette méthode le nom final de Xing-yi-chuan.
Chi Lung-feng eu trois principaux disciples : Ma hsueh-li, Chi-shou, Tsao Chi-wu.
En 1650, à la mort de leur maître ces derniers décidèrent de se séparer pour répandre le nouveau style.
Il se divisa en trois branches : la branche du Guangxi, la branche du Hunan, la branche du Shanxi. Une quatrième branche, celle du Hebei fut initié par lui Li Lo-neng.
Le principe de base du Xing-yi-chuan et de rentrer le plus rapidement et le plus directement possible dans la garde de l'adversaire.